#71-PLUS D’ENERGIE
Bonjour à tous !
Dans ma bataille contre la maladie, j’ai rencontré plusieurs grands challenges. D’abord, guérir de la péricardite, gérer l’inflammation, les douleurs et la tachycardie. Ensuite, les vertiges et les acouphènes. Et enfin, la fatigue, le brain fog, les problèmes de concentration.
Je pensais que la fatigue partirait une fois que je serais sortie de la péricardite.
J’avais tort. A ce jour, je n’ai toujours pas complètement récupéré mon énergie d’avant la maladie. C’est mon plus long combat. Le diagnostic est difficile. Il pourrait aussi être multiple. Et on frôle ici encore les limites des connaissances de la médecine.
Vous connaissez probablement la théorie des cuillères ou la théorie de la batterie. J’en ai parlé dans un de mes précédents articles sur ce blog (#4–LA THEORIE DES CUILLERES OU LA THEORIE DE LA BATTERIE).
Voici comment j’ai pu récupérer de l’énergie (ou gagner des cuillères). Bien sûr, c’est ce qui fonctionne pour moi, et mon objectif est simplement de partager mon expérience.
Rien de neuf dans cet article, mais plutôt une synthèse de ce qui m’a permis de récupérer de l’énergie.
Je vais faire l’impasse sur le pacing, le régime alimentaire équilibré et tous les conseils assez évidents, mais pas toujours efficients, ni suffisants. Aucune critique de ma part, mais je préfère aller droit au but : mon corps a beaucoup souffert et la récupération est un long chemin parsemé d’embûches.
Voici les 5 compléments qui m’aident au quotidien :
1/ COENZYME Q10
C’est la première chose que j’ai essayée et qui m’a rendu de l’énergie, en plus d’avoir l’avantage de stabiliser mon rythme cardiaque. J’ai longtemps pris 200 mg par jour d’ubiquinole, qui est la forme la mieux assimilée. J’ai diminué les doses à 150 mg par jour. Puis, à 100 mg par jour depuis que je prends de la prégnénolone. Je pense que pour une meilleure santé cardiaque, je resterai sur ce dosage à vie.
2/ GLUTATHION
Il m’a fallu beaucoup de temps avant de comprendre que prendre du glutathion était nécessaire pour moi. J’ai essayé le NAC, qui est un précurseur du glutathion, sans succès. Ici aussi, il me faut une forme facilement assimilable par mon organisme, et ça s’appelle le glutathion liposomal que l’on trouve sous forme liquide ou en gélule. Quantité à adapter en fonction des prescriptions de votre médecin. J’ai dû l’augmenter avec la prise de SOD car celle-ci « consommerait » plus de glutathion.
3/ PRÉGNÉNOLONE
C’est une préparation magistrale du pharmacien après avoir fait des tests sanguins. Dans mon cas, la prégnénolone est nécessaire pour que je puisse me concentrer et être productive. J’avais des flashes électriques dans la tête au moment de l’endormissement qui ont disparu depuis que je compense ma carence en prégnénolone.
4/ SOD ET PQQ
Les derniers venus au menu de mon petit déjeuner. Je viens de leur consacrer un article : #69-SOD ET PQQ.
5/ LES TESTS
A part le PQQ, on peut tous les tester avec une prise de sang pour objectiver une carence et assurer un suivi avec son médecin préféré.
A part la prégnénolone, ils sont tous en vente libre. Mais il est important d’avoir un bon suivi médical car toutes ces substances interagissent.
Comme d’habitude, je ne donne pas de conseils médicaux.
Si vous souhaitez en savoir plus sur mon parcours de guérison, vous pouvez lire les articles que j’ai consacré à chaque sujet individuellement en cliquant sur les titres.
PLUS D’ÉNERGIE. PLUS D’ÉNERGIE. PLUS DE PASSION.
Péricordialement vôtre,
Vali