#67–PRÉGNÉNOLONE – PARTIE 1

PREGNENOLONE PARTIE 1

Bonjour à tous !

Vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. C’est d’ailleurs un mot un peu difficile à prononcer : la prégnénolone. Elle m’a permis de retravailler. Elle a enlevé beaucoup de mes symptômes les plus invalidants : brain fog, problèmes de concentration et de mémoire, fatigabilité extrême, maux de tête, flashes dans la tête, vertiges. Rien que ça !!

La prégnénolone est une substance produite par notre corps. Le mien dysfonctionne et n’en produit plus suffisamment. Il se justifie alors de la remplacer par un médicament.

Elle n’est pas en vente libre. Il n’existe même pas de produit ou de marque contenant de la prégnénolone. C’est une préparation générique qui est réalisée par un pharmacien sur prescription d’un médecin.

J’ai commencé le traitement au moment de ma reprise du travail. Je n’aurais pas été capable de me concentrer plus d’une heure ou deux par jour sans elle. Elle m’a littéralement sauvée. Il n’y a aucun doute sur le fait que je serais retournée en maladie sans elle.

J’en ai pris jusqu’à 50 mg par jour. Une fois que mon état a été stabilisé, j’ai pu diminuer à 25 mg par jour. Quand je dois me déplacer ou produire un effort physique plus intense, j’en prend 50 mg le matin.

C’est un soutien incroyable. Je me sens à nouveau moi-même. Je conserve une certaine fatigabilité, mais rien à comparer à mon état sans la prégnénolone.

Il faut la tester grâce à une prise de sang. Dans les valeurs recommandées, il faut être entre 1,0 et 3,8 ug/L. J’étais à 1,0, soit un test « normal ». Néanmoins, mon médecin me l’a prescrite, et heureusement !!

Vu les tests de contrôle qui ont été fait en cours de traitement, je dirais que je dois être au moins à 1,5 ug/L pour me sentir bien et en possession de mes moyens.

C’est un médicament qui n’est pas connu et qui n’est pas en vente libre sur le marché. Je me sens chanceuse d’avoir pu en bénéficier.

Comme toujours, je vous partage mon expérience et mon intention n’est pas de donner des conseils à qui que ce soit. Consultez toujours votre médecin avant d’entreprendre un nouveau traitement.

Et si vous voulez en savoir plus, lisez la PARTIE 2.

GUERIR = TRAVAILLER DUR.

Péricordialement vôtre,

Vali

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