Pericordial Blues

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#33–COLLAGÈNE MARIN

Collagène Marin

Bonjour à tous !

Avoir une maladie peu connue comme la péricardite, cela nécessite parfois de faire ses propres expérimentations.

Dans mon cas, je n’ai pas trop le choix. Je teste différents compléments alimentaires pour voir ce qui pourrait m’aider à guérir, ou au moins me soulager un peu des douleurs au péricarde.

Une expérience que je vais commencer consiste à augmenter les doses de collagènes que je prends. Je viens d’avoir le feu vert de mon médecin. Cela ne serait pas dangereux, mais à vrai dire, il n’en sait pas plus que moi… D’ailleurs, qui sait exactement ce qui se passe ?!

Comme toujours, un petit avertissement : je partage mon expérience de la maladie, mais je ne donne pas de conseil. Vous êtes la personne qui connait le mieux votre situation et votre état de santé.

D’une part, le péricarde est composé de collagène. J’espère que cela pourra aider, surtout quand j’entends les bruits étranges que fait mon péricarde.

D’autre part, il est possible que ma péricardite persiste à cause de la borréliose (maladie de Lyme) qui aurait la fâcheuse tendance d’attaquer le collagène.

Bref, c’est une théorie qui en vaut une autre. Réparer le collagène de mon péricarde qui a pu être endommagé.

Je prends depuis plusieurs mois 2 gélules de collagène marin de Lepivits (soit 500 mg) le soir avant d’aller dormir. Mais ça ne semble pas suffisant.

Alors, je commence maintenant à prendre 10 grammes de collagène marin en poudre dans un smoothie le matin, un jour sur deux. Beaucoup de marques proposent ce type de produit. J’ai choisi d’essayer le collagène marin de Dynveo.

J’ai progressivement augmenté les doses pour atteindre les 10 grammes car les effets se font rapidement sentir sur mes intestins. Mais dans mon cas, c’est juste une question d’habitude et au bout de 3 fois, mon corps s’était déjà habitué. 

Tout comme pour les huiles essentielles dont je vous ai parlé il y a quelques temps, je ferai le point sur l’évolution quand j’aurai suffisamment de recul pour évaluer les effets.

Cela prend du temps, mais je suis convaincue que mon corps peut se réparer.

MISE À JOUR (OCTOBRE 2022)

J’ai un peu plus de recul maintenant avec le collagène marin, et il me semble qu’il est temps d’ajouter cette mise à jour à cet article.

Je prends maintenant 10 grammes de collagène marin depuis plusieurs mois et j’ai vu une amélioration de ma péricardite, mais aussi de mes intestins, ma peau, mes tendons et articulations. Je ne suis pas guérie de ma péricardite, mais mon état s’améliore et je pense que c’est en partie dû au collagène marin que je prends. Les douleurs sont moins fortes et ma résistance s’accroit.

Je prends 10 grammes de collagène marin en poudre, soit dans un smoothie, soit dans du yoghourt de coco à la vanille. Le mieux pour moi, c’est le soir. C’est le moment où je l’absorbe le mieux.

Les premiers temps n’ont pas été faciles. Beaucoup de maux de ventre. En particulier, 3 nuits complètes sans dormir à cause de terribles crampes au ventre. Mais j’ai persisté, et finalement, mon corps assimile mieux et sans douleurs, ce collagène.

J’ai essayé de le compléter avec un collagène végétal, mais cela a entrainé de nouveaux problèmes digestifs, de sorte que j’ai décidé de me contenter du collagène marin.

Je fais de temps en temps une petite fenêtre thérapeutique. Mais dans l’ensemble, au bout de plusieurs semaines tout de même, je parviens à en prendre tous les jours. J’avais commencé par en prendre un jour sur trois, puis un jour sur deux, tout en augmentant graduellement les doses.

La digestion et le transit se sont améliorés, ce qui me semble une excellente chose pour mon rétablissement général. J’ai repris du poids. J’avais perdu 10 kg tout en mangeant 3 fois plus qu’à mon habitude. J’ai repris 12 kg et j’ai donc diminué de moitié ce que je mange. Je ne suis pas certaine de ce qu’il se passe. Est-ce que le collagène marin me fait grossir, ou est-ce que l’assimilation des nutriments s’améliore et je reprends donc du poids ? Ce qui est certain, c’est que ma santé passe avant mon poids et mon apparence. Je continue le collagène marin dans l’espoir qu’il me soigne, et tant pis pour les kilos en trop. J’aurai tout le temps de les perdre lorsque je serai guérie.

Mon impression globale est positive dans le sens où je pense que ce sont les muscles qui se reforment, et non de la graisse. Ma peau est beaucoup plus belle. Ce sont des signes extérieurs, mais je pense que les organes se réparent aussi.

A ma connaissance, il n’existe, hélas, pas de moyens de contrôle du collagène dans l’organisme humain. Je n’ai pas de test pour vérifier ce qu’il se passe, ni pour quantifier le collagène absorbé.

Mais cela fait sens, comme je l’ai dit ci-dessus, puisque le péricarde est en grande partie constitué de collagène, et que la maladie de Lyme détruit ce précieux collagène dans les divers organes.

Je vais donc poursuivre l’expérience et espérer que ce soit la bonne voie pour la guérison complète de ma péricardite.

IL N’Y A PAS DE PAS DE GÉANT. IL Y A JUSTE BEAUCOUP DE PETITS PAS.

Péricordialement vôtre,

Vali